Lorsqu’on évoque les termes de chef-d’œuvres artistiques, de pièces
magistrales, ou bien encore d’édifices musicaux incontournables, bien
ignorant sont ceux qui estiment que ces honneurs sont uniquement
réservés aux réalisations signés par les plus grands noms de la Musique.
En effet Le destin vous conduira tôt ou tard sur les traces de
personnages singuliers, qui toucheront inévitablement votre sensibilité
au plus haut point, et guideront alors subtilement votre âme en vous
immergeant de manière profonde, dans des univers émotionnels
paradisiaques…
Je pense avoir récemment rencontré l’un de ces personnages… un étrange artiste nommé Luc Arbogast. Stylé à l’ancienne « mode » médiévale, le charisme du personnage est tout d’abord saisissant. Armé d’un bouzouki et de clochettes au pieds, il divulgue son extraordinaire musique dans certaines villes de France (devant la cathédrale de Strasbourg, dans certaines citadelles du Sud, ou plus récemment à Montferrand lors de la fête du Dauphin d’Auvergne… ). Mais l’originalité de l’artiste ne s’arrête évidemment pas à sa tenue vestimentaire.
Luc Arbogast bénéficie d’un véritable don des cieux, d’un chant unique et magnifique prenant les caractéristiques fréquentielles du timbre de contre-ténor. Les premières notes qui s’échappent donne à chaque fois le même frisson… les mélodies vocales vous transportent avec volupté en terre sacrée, au sein de royaumes bénis par les anges. Les compositions d’Hortus Dei sont agrémentées d’accompagnements mélodiques très intéressants, mettant en évidence le talent indéniable de Mélusine (Flûte traversière, chant, carillons et Glockenspiel). L’album de Luc Arbogast rassemble des hymnes traditionnels anciens ainsi que des arrangements personnels mêlant mystique, voyage romantique et tragédie médiévale…
L’apogée de cet album réside selon moi dans l’interprétation du célébrissime « Palästinalied » de Walther von der Vogelweide (écrit vers 1220) faisant alusion aux Croisades. (Egalement repris par des groupes comme In extremo ou Corvus Corax...).La montée en puissance de ce titre est tout simplement magnifique, les émotions sont retranscrites de façon remarquable.
« Morgenstern », « la rosa enflorece », « entre moi et mon ami » (anonyme français) ainsi que la narration « Ange » (histoire bouleversante remplie d’espoir et d’inquiétude sur l’évolution de l’humanité…) sont des véritables petits bijoux.
Hortus Dei devait logiquement trouver une place parmi les pages de reflets d’ombres, afin que les passionnés de musique et d’histoire puisse savourer ce délicieux breuvage de culture et d’émotions. (Hugues Perrin / Reflets d'Ombres)
Je pense avoir récemment rencontré l’un de ces personnages… un étrange artiste nommé Luc Arbogast. Stylé à l’ancienne « mode » médiévale, le charisme du personnage est tout d’abord saisissant. Armé d’un bouzouki et de clochettes au pieds, il divulgue son extraordinaire musique dans certaines villes de France (devant la cathédrale de Strasbourg, dans certaines citadelles du Sud, ou plus récemment à Montferrand lors de la fête du Dauphin d’Auvergne… ). Mais l’originalité de l’artiste ne s’arrête évidemment pas à sa tenue vestimentaire.
Luc Arbogast bénéficie d’un véritable don des cieux, d’un chant unique et magnifique prenant les caractéristiques fréquentielles du timbre de contre-ténor. Les premières notes qui s’échappent donne à chaque fois le même frisson… les mélodies vocales vous transportent avec volupté en terre sacrée, au sein de royaumes bénis par les anges. Les compositions d’Hortus Dei sont agrémentées d’accompagnements mélodiques très intéressants, mettant en évidence le talent indéniable de Mélusine (Flûte traversière, chant, carillons et Glockenspiel). L’album de Luc Arbogast rassemble des hymnes traditionnels anciens ainsi que des arrangements personnels mêlant mystique, voyage romantique et tragédie médiévale…
L’apogée de cet album réside selon moi dans l’interprétation du célébrissime « Palästinalied » de Walther von der Vogelweide (écrit vers 1220) faisant alusion aux Croisades. (Egalement repris par des groupes comme In extremo ou Corvus Corax...).La montée en puissance de ce titre est tout simplement magnifique, les émotions sont retranscrites de façon remarquable.
« Morgenstern », « la rosa enflorece », « entre moi et mon ami » (anonyme français) ainsi que la narration « Ange » (histoire bouleversante remplie d’espoir et d’inquiétude sur l’évolution de l’humanité…) sont des véritables petits bijoux.
Hortus Dei devait logiquement trouver une place parmi les pages de reflets d’ombres, afin que les passionnés de musique et d’histoire puisse savourer ce délicieux breuvage de culture et d’émotions. (Hugues Perrin / Reflets d'Ombres)
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