ANCALAGON est un groupe de Pagan / Viking Metal originaire de France n’ayant sorti qu’un seul album à ce jour … et une chronique s’imposait, car ce dernier est tout bonnement excellent dans son genre. Pour un premier coup de casque cornu, il crève les tympans !
“First age : entering legenda”, c’est un pur déchaînement de riffs furieux comme les vagues d’un océan enragé fracassant un Drakkar sur des récifs acérés. La musique est surprenante de maturité et le groupe, au demeurant fort discret, possède sûrement une solide expérience même s’il ne compte qu’un EP dans sa discographie, à savoir leur précédente sortie “The Audhumla”. Une recherche plus poussée me fait dire que le groupe est né sur les cendres d’un groupe de Black Metal déjà bien établi sans pour autant l’affirmer, de plus la bio sur le site de leur label se veut très explicite : “No Bio, No Info, Fuck you all”… fin de citation.
Les mélodies sont au rendez-vous, alternant avec de grosses rythmiques bien soutenues par une batterie ne lésinant pas sur les blasts, sans pour autant s’y cantonner. Les guitares savent aussi abandonner la fureur pour se faire plus mélancoliques, comme lors du passage acoustique de « Sacrifice » et son splendide solo. Quelques nappes de synthés renforcent à l’occasion des ambiances tragiques et lugubres, telles celles que connaîtrait un guerrier découvrant qu’il reste le seul survivant d’une bataille … seul témoin d’un sinistre gâchis.
Quant aux paroles, elles sont directement inspirées des vieilles traditions occidentales sans oublier les références à Tolkien. (”Ancalagon” est le nom d’un dragon que l’on retrouve dans le Silmarilion). Coup de cœur au dernier morceau, The Reason Why, qui clôture un album qui, vous l’aurez compris, doit absolument être découvert car à ce jour, cet album est et restera probablement le seul jet de ce groupe aujourd'hui mort. (Albérich - Noz Pagan)
“First age : entering legenda”, c’est un pur déchaînement de riffs furieux comme les vagues d’un océan enragé fracassant un Drakkar sur des récifs acérés. La musique est surprenante de maturité et le groupe, au demeurant fort discret, possède sûrement une solide expérience même s’il ne compte qu’un EP dans sa discographie, à savoir leur précédente sortie “The Audhumla”. Une recherche plus poussée me fait dire que le groupe est né sur les cendres d’un groupe de Black Metal déjà bien établi sans pour autant l’affirmer, de plus la bio sur le site de leur label se veut très explicite : “No Bio, No Info, Fuck you all”… fin de citation.
Les mélodies sont au rendez-vous, alternant avec de grosses rythmiques bien soutenues par une batterie ne lésinant pas sur les blasts, sans pour autant s’y cantonner. Les guitares savent aussi abandonner la fureur pour se faire plus mélancoliques, comme lors du passage acoustique de « Sacrifice » et son splendide solo. Quelques nappes de synthés renforcent à l’occasion des ambiances tragiques et lugubres, telles celles que connaîtrait un guerrier découvrant qu’il reste le seul survivant d’une bataille … seul témoin d’un sinistre gâchis.
Quant aux paroles, elles sont directement inspirées des vieilles traditions occidentales sans oublier les références à Tolkien. (”Ancalagon” est le nom d’un dragon que l’on retrouve dans le Silmarilion). Coup de cœur au dernier morceau, The Reason Why, qui clôture un album qui, vous l’aurez compris, doit absolument être découvert car à ce jour, cet album est et restera probablement le seul jet de ce groupe aujourd'hui mort. (Albérich - Noz Pagan)
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