Dans les quelques lignes qui vont suivre, je vous emmène avec moi environ 800
ans en arrière pour vous emmener promener sur les terres d’Ecosse et
plus précisément sur le mont le plus élevé de l’ile de Rùm qui n’est d’autre que
l’Askival, nom qu’a choisi Tuagh pour son one-man band.
Je préfère vous le dire tout de suite cet album est tout simplement un véritable chef d’œuvre car il a été habillement travaillé et possède une richesse qui est rare dans un seul et unique album. Tout d’abord nous avons le droit à des morceaux épiques tel le premier titre, qui sert d’intro, Gathering the Clans qui rappelle les marches guerrières d’autrefois. Whispers in the Breeze, Legion of Wotan et Forged in the Fires of Alba font partie également de ces morceaux épiques avec une forte influence Black Metal et qui ont le don de nous transporter dès les premières secondes en plein cœur d’une bataille héroïque. Mais attention, rien à voir avec du Power car les morceaux restent principalement dans la veine folklorique accompagné d’un chant guerrier parfois très solennel.
Il ne faudra pas attendre longtemps avant de prendre une claque monumentale car le deuxième morceau intitulé Last March of The White Wolves est tout simplement somptueux. De plus, le plaisir n’est pas de courte durée car c’est le titre le plus long de l’album, plus de 15 minutes !!! Un des meilleurs morceaux que j’ai pu entendre jusqu’à aujourd’hui (tous groupes confondus) tellement ce dernier est riche. On commence sur une intro en plein cœur d’une bataille où Tuagh nous montre rapidement l’étendue de son talent avec un chant black torturé qui exprime toutes sortes de sentiments avec une grande sincérité. Vers 3min40 le morceau devient plus ambiant et où on se laisse emporter avec grand plaisir sur les terres écossaises avec un Tuagh plus apaisé qu’au début du morceau. Plus on avance sur le morceau plus l’intensité augmente avec une magnifique guitare acoustique et des blasts mesurés, de plus parfaitement placé, jusqu’à l’apothéose du morceau, lancé par un puissant et irrésistible « and for freedom we bleeeeeeeeeeed » suivi d’une magnifique envolée sonore à en donner des frissons. Quel pied ce morceau, quel pied ! L’album possède également des interludes ambiants de qualité, agrémentés d’effets sonores enregistrés en pleine nature ce qui nous donne tout de suite envie de communier avec elle tel Elderpath, Field of Thistles & Ancient Echoes et Destiny où Tuagh chante tel un conteur.
Tuagh nous offre également une belle surprise avec le titre Sorrow of The Sun qui possède une guitare sèche quasi omniprésente et une double voix parfois proche du murmure, parfois clair. De plus, il est accompagné d’un très joli chant féminin celui de Runahild Thrumublom. Un morceau magnifique qui fait penser à une sorte d’hommage à un guerrier tombé au combat ou à une divinité païenne.
L’album se termine de bien belle manières avec le titre Eternity qui referme ce magnifique voyage auquel nous a convié Askival. Une réalisation de qualité et d’une richesse musicale avec ses côtés black, épique et ambiant. En résumé, c’est un album à posséder de toute urgence pour tous les passionnés de Pagan Black Epique. (Par PaganFrance, sources : Spirit of Metal)
Je préfère vous le dire tout de suite cet album est tout simplement un véritable chef d’œuvre car il a été habillement travaillé et possède une richesse qui est rare dans un seul et unique album. Tout d’abord nous avons le droit à des morceaux épiques tel le premier titre, qui sert d’intro, Gathering the Clans qui rappelle les marches guerrières d’autrefois. Whispers in the Breeze, Legion of Wotan et Forged in the Fires of Alba font partie également de ces morceaux épiques avec une forte influence Black Metal et qui ont le don de nous transporter dès les premières secondes en plein cœur d’une bataille héroïque. Mais attention, rien à voir avec du Power car les morceaux restent principalement dans la veine folklorique accompagné d’un chant guerrier parfois très solennel.
Il ne faudra pas attendre longtemps avant de prendre une claque monumentale car le deuxième morceau intitulé Last March of The White Wolves est tout simplement somptueux. De plus, le plaisir n’est pas de courte durée car c’est le titre le plus long de l’album, plus de 15 minutes !!! Un des meilleurs morceaux que j’ai pu entendre jusqu’à aujourd’hui (tous groupes confondus) tellement ce dernier est riche. On commence sur une intro en plein cœur d’une bataille où Tuagh nous montre rapidement l’étendue de son talent avec un chant black torturé qui exprime toutes sortes de sentiments avec une grande sincérité. Vers 3min40 le morceau devient plus ambiant et où on se laisse emporter avec grand plaisir sur les terres écossaises avec un Tuagh plus apaisé qu’au début du morceau. Plus on avance sur le morceau plus l’intensité augmente avec une magnifique guitare acoustique et des blasts mesurés, de plus parfaitement placé, jusqu’à l’apothéose du morceau, lancé par un puissant et irrésistible « and for freedom we bleeeeeeeeeeed » suivi d’une magnifique envolée sonore à en donner des frissons. Quel pied ce morceau, quel pied ! L’album possède également des interludes ambiants de qualité, agrémentés d’effets sonores enregistrés en pleine nature ce qui nous donne tout de suite envie de communier avec elle tel Elderpath, Field of Thistles & Ancient Echoes et Destiny où Tuagh chante tel un conteur.
Tuagh nous offre également une belle surprise avec le titre Sorrow of The Sun qui possède une guitare sèche quasi omniprésente et une double voix parfois proche du murmure, parfois clair. De plus, il est accompagné d’un très joli chant féminin celui de Runahild Thrumublom. Un morceau magnifique qui fait penser à une sorte d’hommage à un guerrier tombé au combat ou à une divinité païenne.
L’album se termine de bien belle manières avec le titre Eternity qui referme ce magnifique voyage auquel nous a convié Askival. Une réalisation de qualité et d’une richesse musicale avec ses côtés black, épique et ambiant. En résumé, c’est un album à posséder de toute urgence pour tous les passionnés de Pagan Black Epique. (Par PaganFrance, sources : Spirit of Metal)
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